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27 décembre 2013 5 27 /12 /décembre /2013 08:17

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Contrairement à Morlaix, Châteaulin, Quimperlé, Quimper a échappé aux conséquences de l'épisode tempétueux de Noël. Seule l'école Victor-Hugo, a été endommagée par le coup de vent.


Le pic des débits d'eau a été atteint mardi à Quimper entre 10 h et 15 h selon les secteurs. Même si les flots sont restés plusieurs heures à un niveau très élevé, le centre-ville de Quimper n'a pas connu d'inondations importantes lors de cet épisode particulièrement sensible.

Alerte tardive

Les « prévisions météo, en dehors de quelques épisodes pluvieux, s'annoncent plutôt calmes jusqu'à vendredi nous a-t-on dit », indiquait mardi l'adjoint à l'urbanisme et au cadre de vie Daniel Le Bigot. C'est du côté de la rue de l'Hippodrome, en amont du centre-ville quimpérois que l'Odet a le plus débordé mardi matin, d'une quarantaine de centimètres. Les services techniques y ont installé un bâtardeau et fait pomper l'eau sur la chaussée. Le parking de La Providence a, lui aussi, été fermé quelques heures, jusqu'à 11 h 30, car le Steïr est sorti de son lit jusqu'au sentier piétonnier. La rue Auguste-Dupouy, au Moulin-Vert, a également été partiellement inondée tandis que de l'eau s'est infiltrée dans plusieurs caves en ville.« C'est vrai que ce que nous annonçait la météo hier soir était en deçà de la réalité si bien que nos services ne sont intervenus que mardi matin vers 7 h-7 h 30 au moment où ils ont reçu l'alerte. C'était un peu tard pour la rue de l'Hippodrome par exemple », a commenté l'élu.

Des résultats probants

Reste que ces débordements n'ont pas eu de conséquences, sur des sites habitués à ce genre d'événement. Les coefficients de marée (autour de 50) étaient aussi relativement faibles et n'ont donc pas impacté les autres lieux sensibles comme la rue René-Madec.On peut s'interroger sur la bonne tenue du site quimpérois par rapport aux autres villes d'estuaires. Les bassins de rétention en amont de la ville comme celui de la route de Brest étaient bien pleins, ce qui a sûrement limité les conséquences des fortes pluies.« Il faut y voir le résultat des travaux réalisés par la municipalité actuelle et celle d'Alain Gérard précédente, estime Georges Cadiou, président du Sivalodet. Ces résultats ne doivent pas endormir les Quimpérois, car les travaux réalisés, s'ils s'avèrent efficaces, seraient insuffisants dans le cas d'une crue équivalente à celle de décembre 2000. Sur le territoire de Quimper, l'essentiel des travaux a été réalisé. Il reste les ouvrages en amont. Le risque n'est donc pas éliminé ».


    École Victor-Hugo : le toit d'une classe plié par le vent

    Le vent a endommagé, dans la nuit de lundi à mardi, une partie du toit d'un bâtiment de l'école primaire Victor-Hugo, rue Alfred-de-Vigny. La couverture en aluminium s'est en partie soulevée et pliée sous l'effet du vent au-dessus de la classe de CM2, dans laquelle de l'eau de pluie, tombée en abondance, s'est engouffrée. Les services techniques ont installé une bâche d'environ 50 m² mardi après-midi, afin de mettre la salle hors d'eau.La classe a été vidée, le mobilier et le matériel entreposés dans un couloir. La classe de CM1 voisine a été visiblement épargnée par le sinistre. Mais, pour des raisons de sécurité, le bâtiment ne sera pas accessible à la rentrée de janvier. La Ville a trouvé, dès mardi, une solution de repli, transitoire, pour accueillir les élèves de cours moyen dès le lundi matin 6 janvier.


     

    source:  link

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    27 décembre 2013 5 27 /12 /décembre /2013 08:04
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    26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 20:44

    131226-NDDL 0

     

    131226-NDDL 1

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    15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 11:08

    131212-LT-Question du net (eauSP)

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    14 décembre 2013 6 14 /12 /décembre /2013 09:01

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    Bus. « La gratuité c’est pas cher et ça peut rapporter gros !» estime le collectif « Osons la démocratie »

     

    Pour financer des transports publics gratuits sur Quimper communauté, il faudrait effectivement trouver 2.5 millions d’euros de recettes de fonctionnement chaque année soit 20% du coût total de fonctionnement. En fait, un peu moins car la billetterie elle-même a un coût qu’il faudrait déduire de ce montant.


    Nous ne proposons pas d’augmenter la taxe d’habitation comme le suggère Jean-Pierre Bigorgne, mais nous souhaitons augmenter le versement transports (V.T.) payé par les entreprises de plus de 9 salariés. Aujourd’hui le taux du V.T. est fixé à 0.7% sur Quimper Communauté, ce versement rapporte actuellement 5.8 millions d’euros. Le taux maximum que la loi autorise pour Quimper communauté est de 1.10%. Si ce taux maximum était appliqué cela rapporterait 9.1 millions d’euros. Soit un gain de 3.3 millions d’euros qui serait largement suffisant pour financer la gratuité.


    Rappelons les taux appliqués sur les agglomérations voisines : Brest 1.8%, Lorient 1.8%, Vannes 1.05%, Saint Brieuc 1.45%.


    La gratuité des transports en commun, là où elle existe déjà rapporte gros en termes d’utilisation des transports en commun, de baisse de la circulation automobile, de convivialité dans les bus ou de revitalisation des centres villes.


    Le niveau et la destination du versement transport est un choix politique, comme le financement des grands projets inutiles et très discutables défendus par la municipalité sortante. Quand JP Bigorgne évoque comme seule solution le recours aux impôts locaux pour financer la gratuité des transports, cela traduit en fait son refus de remettre en cause les choix politiques libéraux de B Poignant. 

     

    Pour « Osons la démocratie »

    Michel Kernaléguen


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    6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 09:30

     

    Conférence-débat/Vendredi 6 décembre 2013/20 h 30
    MJC/MPT de Kerfeunteun

     libertc3a9-c3a9galitc3a9-gratuitc3a9.jpg

    Liberté, égalité,
    gratuité

    l'expérience de la gratuité des transports urbains au "Pays d'Aubagne"

     

    En moins de 10 ans, la gratuité des transports publics s'est étendue à plus d'une douzaine de villes et d'agglomérations françaises , de couleurs politiques très diverses (Aubagne, Chateauroux...) et de nombreuses villes étrangères, Tallin (Estonie), Mons et Hasselt (Belgique), Portland (Oregon-USA)...

    Depuis le 15 mai 2009, les onze communes de la communauté d'agglomération du "Pays d'Aubagne et de l'Etoile", au nord-est de Marseille, ont mis en place cette gratuité.

    Comment cela s'est-il fait ? Quel en est le bilan ? Cette expérience peut-elle être reproduite en "Pays de Quimper-Cornouaille". Le développement de la fréquentation des transports en commun c'est l'affaire de tous (intérêt général) mais aussi de chacun-e d'entre nous

    Le Collectif citoyen "Osons la démocratie" qui construit une  liste et un programme porteurs d'une alternative sociale et écologique à gauche pour les municipales à Quimper invite citoyen-ne-s et salarié-es à s'informer et à débattre de ce projet avec:

     

    Antoine Di Ciaccio
    Vice-Président de la "communauté d'Aubagne et de l'Etoile"
    qui a mis en place la gratuité des transports, depuis le 15 mai 2009
    & Patrick Le Moal
    Animateur du Collectif National pour la Gratuité des Transports

     

    Vendredi 6 Décembre 2013-20 h.30
    MJC/MPT de Kerfeunteun

    rue Teilhard de Chardin 29000 Quimper


    Entrée libre et gratuite-Merci de diffuser l'info dans vos réseaux



    Le Collectif citoyen Kemper-Osons la démocratie

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    27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 16:30

    70ème anniversaire de la création

    du Conseil National de la Résistance (C.N.R.)

     

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    Vendredi 29 novembre 2013 à 20 heures 30

    Halles St-François (salle n°1) à Quimper

      

     

    Michel Etiévent raconte les bâtisseurs de la Sécurité sociale

    Ambroise Croizat et le CNR

     

    Le Front de Gauche Briec/ Fouesnant/ Quimper et ses composantes (PCF, Parti de Gauche, Fédération pour une Alternative Sociale et Ecologique, Gauche anticapitaliste et Les Alternatifs) organisent en partenariat avec les organisations amies ATTAC, MPEP, LGN, NPA, et le Collectif quimpérois « Osons la démocratie ! »  une conférence-débat pour célébrer le 70ème anniversaire de la création du CNR, Conseil National de la Résistance : vendredi 29 novembre 2013-20 heures 30 , aux Halles Saint-François (salle n°1) à Quimper.


    Pour marquer l’événement, Michel Etiévent viendra retracer l’histoire de la création de la sécurité sociale autour de sa bibliographie. Michel Etiévent, écrivain, historien, auteur d’une quarantaine d’ouvrages (Documentaires historiques, nouvelles, récits, biographies de Marcel Paul, Ambroise Croizat, Guy Moquet, de la Résistance en France…) déroulera au fil de sa conférence, le chemin de l’un des grands inventeurs sociaux du 20ème siècle, Ambroise Croizat : son enfance ouvrière, son engagement, ses luttes et son combat pour la dignité, sa participation aux grandes heures de l’histoire sociale française, l’aventure du Front Populaire, la Résistance, la Libération.


    Les organisateurs de la rencontre vous invitent ainsi à refaire le parcours sur lequel, peu à peu s’inscrit le fabuleux héritage social qui nous a été légué par le Conseil National de la Résistance dont nous célébrons cette année le 70ème anniversaire de sa création. Ambroise Croizat, secrétaire général de la Fédération CGT des métaux puis ministre communiste du travail de 1945 à 1947, bâtira entre autres la sécurité sociale, les comités d’entreprises, sera à l’origine de la Médecine du travail, des conventions collectives, des statuts des mineurs et d’EDF GDF, de la généralisation de la retraite pour tous, de la fonction publique...

     

    Ces réalisations ont très vite été combattues par les forces réactionnaires au fur et à mesure qu’elles ont relevé la tête. Ces « conquis » gênent le patronat dans sa recherche de profit maximum jusqu’à ce que le MEDEF par la voix de son vice-président Kessler appelle à en finir avec le modèle social issu de la Résistance. A l’heure des inquiétudes sur une protection sociale de qualité, des dangers qui menacent la retraite par répartition, il est plus que jamais nécessaire de nous inspirer des mobilisations de la Libération. Plus que jamais face au rouleau compresseur du libéralisme, le programme du CNR est d’actualité. A nous de prendre le relais pour imposer des politiques favorables aux travailleurs.

     

     

    A noter sur vos agendas -Le film-documentaire de Gilles PERRET  « les jours heureux » qui retrace l’histoire du Conseil National de la Résistance et de son programme sera projeté au « Quai Dupleix » à Quimper le vendredi 13 décembre 2013 en présence du réalisateur qui animera un débat après la projection.

     

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    24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 13:55

    2500 à 5000 manifestants dans les rues de Morlaix pour défendre les salariés de l'agroalimentaire et l'emploi en Bretagne avec un gros cortège Front de Gauche Finistère, de 400 militants environ, soutenu par la responsable nationale du Parti de Gauche, Raquel Garrido. Une mobilisation réussie sur le plan de l'engagement des forces syndicales et de la gauche "de gauche" (Front de Gauche, Npa...) même si l'élan des grandes mobilisations populaires faisait défaut....

     

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    21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 11:44
       

     

    Attac 10La Bretagne est la championne de la production agricole de masse selon le principe: produire toujours plus et toujours moins cher. Mais elle dégage des marges réduites. Numéro un des productions animales, elle n'a mis en place aucune appellation d'origine protégée dans le secteur.

     

    Elle se retrouve prise dans l'engrenage d'un élevage industriel, de plus en plus coûteux en énergies fossiles et en alimentation animale concentrée, notamment du soja qu'elle importe d'Amérique via ses grands ports.

     

    Les agriculteurs vendent ensuite au rabais leurs porcs, leurs volailles, leur lait à des grandes industries agroalimentaires. Des industries qui jouent quant à elles sur des marchés de produits standards, de faible qualité, ne pouvant faire face à la concurrence internationale que par des prix et  des coûts salariaux toujours plus faibles.

     

    Le spectre des opposants à l'écotaxe a de quoi semer la plus grande confusion. Quand Leclerc ferme  en solidarité avec les agriculteurs et les industries agroalimentaires bretonnes, on oublie que la grande surface est la première à les saigner en pressurant les prix pour gonfler ses marges.

     

    Quand le grand patronat breton défile avec les salariés, on oublie que les marges des actionnaires ne font que grandir au détriment des salaires. Quand les « bonnets rouges» scandent avec la FNSEA " Vivre, décider, travailler, en Bretagne ", on oublie que le modèle soutenu par le syndicat agricole majoritaire a fusillé l'emploi et dégradé le cadre de vie, remplissant de nitrates et d'algues vertes les nappes phréatiques et les plages bretonnes.

     

    L'agrobusiness breton se prend le mur

     

    Tant et si bien que les abattoirs Gad (CECAB), qui licencient en ce moment près de 900 salariés, embauchent des salariés des pays de l'Est à Josselin dans le Morbihan, par le biais d'agences d'intérim étrangères et d'un autre droit du travail, bien plus avantageux.

     

    Tant et si bien que leurs volailles congelées bas de gamme ne peuvent plus être exportées qu'à coup de dumping, de fortes subventions à l'export sur le dos du contribuable.

     

    Ces subventions sont aujourd'hui supprimées et la directive européenne sur les nitrates ne laisse pas d'autre choix que de réduire la production: faute d'avoir su ou pu négocier le virage, l'agrobusiness breton se prend le mur.

     

    Pensant profiter de l'augmentation de la production, il a même activement contribué à sa perte, en plaidant au sein de la FNSEA et dans diverses structures de lobbying une dérégulation des marchés et notamment la fin des quotas laitiers. II a tellement bien réussi que la France a cessé de soutenir les quotas.

     

     

    Certes, il faut se garder de généraliser ce modèle à toute la Bretagne: d'autres entreprises agroalimentaires ont su diversifier leur production, miser sur la qualité et la valeur ajoutée. Certains éleveurs, comme ceux du Centre d'étude pour le développement d'une agriculture plus autonome (Cedapa), ont su montrer qu'on pouvait créer de l'emploi et réussir avec des prairies extensives et des pratiques bien plus respectueuses de l'environnement. Ils ont mis en avant les complémentarités entre cultures et élevages, disparues ces dernières dizaines d'années quand la Bretagne s'est ultra spécialisée dans l'élevage intensif.

     

     

    Nous serons à Morlaix pour soutenir la reconversion des élevages

     

    Mais pour un tel changement de modèle de développement, encore faut -il des politiques qui l'accompagnent: un encadrement des marges de la grande transformation et de la grande distribution, l'arrêt des aides sans conditions aux industries et une redistribution vers des activités relocalisées, écologiques et sociales.

    Des politiques que les gouvernements successifs, y compris celui-ci, ne proposent pas, même dans le projet actuel du Pacte d'avenir, coquille vide, sans exigence sociale ni écologique, ni environnementale. Ainsi en est-il de la redistribution des aides de la politique agricole commune, décidée ces semaines-ci, qui aurait pu encore bien davantage soutenir la reconversion de l'élevage au lieu de continuer à aider des céréaliers aux revenus indécents.

     

    L'écotaxe telle qu'elle est conçue, ajoutée à une politique fiscale injuste qui continue de pénaliser les classes moyennes et précaires, ne pouvait donc qu'attirer les foudres. En effet, 60 au mieux des recettes bénéficieraient aux modes de transport collectifs à la route. S'y ajoutent le manque de politiques pour accompagner le « transfert modal» vers le transport ferroviaire et fluvial, ainsi que les profits élevés que s'attribuerait Ecomouv, le gestionnaire. Pénaliser les produits en fonction de leur distance tout en reversant les recettes à des politiques de conversion du modèle de développement pourrait être un moyen de relocalisation des activités et de transition écologique et sociale.

     

    Nous serons à Morlaix pour combattre les politiques d'austérité, la casse sociale et exiger des emplois durables, une nouvelle répartition des richesses et une fiscalité tournée vers la satisfaction des besoins sociaux:

     

    ●Suspension de tous les plans de licenciements

    ●Droit de veto des salariés sur les licenciements et contrôle des fonds publics versés aux entreprises

    ●Réorientation, sous le contrôle des travailleurs, de l'appareil productif vers des productions de qualité, la relocalisation de la transformation pour répondre aux besoins d'une alimentation saine et de qualité. Amélioration des conditions de travail et des salaires des travailleurs

    ●Réorientation des financements de la Politique Agricole Commune dans le sens d'une rupture avec le modèle productiviste et libéral: Maitrise des productions, partage des droits à produire, prix garantis et rémunérateurs permettant aux agriculteurs de vivre décemment de leur travail, soutien clair aux pratiques agricoles respectueuses de l'environnement

    ●L'arrêt du saupoudrage fiscal et la mise en chantier d'une véritable réforme de la fiscalité attaquant enfin les hauts revenus et les profits des actionnaires (fiscalité progressive, limitation des niches fiscales ... ).

    ●Moratoire sur les hausses de TVA au 1er janvier 2014 qui pèsent sur le pouvoir d'achat des ménages.

    ●Augmentation des salaires et de tous les minima sociaux .

    ●Lutte contre le dumping social en Europe

     

    Fait à Quimper, le 20 novembre 2013

     Attac Quimper-Cornouaille  

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    17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 18:08

    Pour la 7e année consécutive, l'hebdomadaire La Vie a passé 96 départements au crible selon 8 critères environnementaux : consommation durable, protection de la biodiversité, agriculture biologique, gestion des déchets, agenda 21, énergies renouvelables, qualité de l'eau et qualité de l'air. Découvrez le palmarès département par département en cliquant sur le lien ci-dessous.

     

    le palmarès de l'écologie 2013

     


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    LES JOURS HEUREUX

    Vendredi 13 décembre 2013-20 h. 30

    au "Quai Dupleix" à Quimper

    en présence de Gilles PERRET

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